[Pv Jasper] Chasse aux Grizzly

Je sors de la maison avec Jasper et mes yeux sont plus noirs que jamais. Cet ours ne perds rien pour attendre. Filant dans les bois à toute vitesse, je perds quelques fois mon compagnon de vue pour traquer ma proie préférée. Cette bête féroce est très difficile à attraper, mais c'est ce qui me plaît chez elle, le défi que je dois relever en l'attrapant ne rends que meilleur mon repas au final. C'est en me camouflant derrière le tronc d'un arbre que je l'apperçus enfin, je salivais seulement qu'à y penser. Je ne comptais plus le temps, tout ce dont je me souviens est ma rude bataille avec le Grizzly et moi lui sautant à la gorge pour l'achever. Je ne préoccupais plus de où pouvais être Jasper en ce moment..mon repas plus important que tout pour ma propre survie.

On était parti depuis je crois une trentaine de minutes. Emmett est parti dans les bois à une vitesse hallucinante. Je réussissais à le rattrapper mais le voila qui repartais vers sa proie. En fait, je ne crois pas être assez fort pour chasser le Grizzly. Pendant qu'Emmett fesait sa partie de chasse, je décidai moi aussi de me nourrir. Tant qu'à être ici pourquoi pas en profiter. Je remarquai donc cerf qui passait par la. Tien donc. C'est pas son jour de chance à lui. Je partis donc à sa poursuite et fini par le rattrapper. Je l'immobilisa et le mordi. Après avoir bu une quantité sufisante, j'allai retrouver Emmett. Il était encore en train de se battre contre sa proie. Je voyais qu'Emmett y prennait un malain plaisir. Il aime combattre contre des proies qui lui offre de la résistance. Ce spectacle était épatant, bien que je l'aie déja vu. Finalement, Emmet réussi à avoir le dessus sur sa proie.

Je mordais férocement dans ma proie n'ayant pu gagner la bataille. Une fois rassasié, je me tournai sentant un regard que je connaissais bien sur moi. Jasper me regardais, il a terminé de chasser lui aussi si je ne me trompe.

-Et puis Jasper, la chasse étais bonne ? Tu as attrapé quel animal aujourd'hui?

Je me leva en marchant dans sa direction. Il était là, accoté sur un arbre, l'air non-chalant, comme s'il admirait mon travail. Voyant que je m'approchais de lui, il se releva et nous commençâmes à marcher comme deux humains normal dans la forêt en papottant. Personne de rôdais jamais dans cette fôret, mais il ne vaut mieux pas prendre de chance, je n'étais d'ailleurs pas pressé.