Edward Cullen

Bien malgré ses cent quelques années, Edward garde l’apparence de ses dix-sept ans, à savoir l’année de sa pseudo mort. Il n’a jamais été précisé si il pouvait vieillir ou non, mais les apparences laissent croire que ce n’est pas le cas, et donc, malgré son âge avancé, il présente toujours le physique d’un jeune homme, particularité qui ne semble point le déranger. Comme tous les siens, Edward n’éprouve pas le besoin de dormir, ses forces ne se refaisant pas ainsi mais par une façon qui reste encore inconnue, bien que probablement reliée à son mode d’alimentation. Malgré cela, il affiche tout de même quelques symptômes physiques de l’insomniaque, à savoir un teint extrêmement pâle ; sa peau est d’une blancheur d’albâtre, totalement décolorée, et ne possède comme uniques pixels que ceux de ses lèvres tendrement rosées et du contour de ses yeux, assombrit par la présence de cernes. Exceptionnellement toutefois, la présence de cernes sur le visage de notre protagoniste ne représente pas un facteur enlaidissant, mais semble au contraire faire sortir ses yeux de manière plutôt intense.

Parlant d’yeux : bien qu’ont ait tendance à survoler rapidement ce détail, les globes du vampire méritent bien leur paragraphe, car ils représentent probablement l’un des meilleur attribut d’Edward. C’est à eux qu’il doit son faciès si expressifs, et à eux seuls, ils semblent capables d’exprimer bien plus que ce que les simples mots peuvent faire. D’une couleur incertaine, ils semblent changer en fonction de nombreux critères, passant progressivement du doré au noir, puis du noir au doré, et recommençant ce bal sans arrêt.

Aussi, bien qu’étant vampire, Edward ne possède par les canines accentuées de l’espèce, se contentant de simples petits crocs humains qui font à peine plus pointus que la normale. On ne peut toutefois pas douter du fait qu’ils soient irrémédiablement dangereux, lorsque bien maniés.

En plus de tous ces détails faciaux, Ed présente aussi une abondante crinière aux reflets de bronze, qui ne semble pas être des plus soignés; légèrement bataille, il donne l’illusion d’avoir prit le vent. Il les garde tout de même très propres, personne ne pourrait dire le contraire. Toujours reluisants, toujours l’air aussi souples et soyeux, mais en bordel tout de même.

Côté corps, là aussi, Edward garde l’apparence d’un jeune homme. Il est d’apparence assez musclé, mais doté d’une musculature discrète et agréable, qui ne laisserait jamais soupçonné la force dont il est doté. De taille, il ne se ferait pas vraiment qualifié de grand, mais il reste dans la moyenne, plus haut que la plupart des filles, à égalité avec bon nombre de garçons. Outre, il ne porte rien pour se démarquer des autres, s’habillant toujours avec soin et goût, mais pas vraiment avec style, évitant ainsi de se faire trop voyant.

Par où commencer...Du haut de mes 17 ans, je n'aspirais qu'à devenir soldat et combattre aux côtés de mes compatriotes, je voulais être un héros glorieux qui se serait battu pour son pays, à la grande déception de ma mère qui elle voyait en moi un genthleman doué pour sonder les âmes de mes proches, respecté dans la société mon père était parti depuis plusoeurs années. Ce fut ma très chère mère qui s'occupa de mon éducation à commencer par sa règle fondamentale.....respecter les femmes....son amour m'avait était important pour moi, elle était la seule personne de la gente féminine qui avait mon amour, je ne considérais les autres jeunes femmes de mon âge inintéressante, je voulais par dessus tout devenir un soldat.
Un jour alors que je rentra de la course que ma mère m'avait envoyé faire pour elle, je la retrouva au sol et brûlante de fièvre.
Une heure plus tard le docteur Carlisle Cullen me fit par de son diagnostic.....grippe espagnole....une maladie qui à cette époque était fatale à qui l'attrapait. Le docteur passa souvent pour prendre soin d'elle et tenter de l'apaiser, jusqu'au jour où ce fut mon tour, passer le plus clair de mon temps à son chevet je devais me douter que je finirais par me tretrouver comme elle.....peut-être cela avait été volontaire de ma part, je ne souhaitais pas que la seule personne qui me restait au monde me quitte si vite. Tout comme le soleil, ma mère quitta ma vie se trouvant à peine à midi. Je n'étais pas encore apte à me passer d'elle....plongé dans la peine et la maladie, alors que je dormais sur mon futur lit de mort, je sentis qu'on m'agrippa la gorge semblable à un chien enragé, je sentis la plus grande douleur physique au monde qui me fut été de connaître, une brûlure mélangé à des déchirements venant tout droit de l'enfer et tomba dans un sommeil profond mais toujours aussi tortueux pour mon esprit, comment pouvais-je être encore vivant sous cette douleur, pourquoi ne m'achevait-elle pas au lieu de me faire souffrir aussi longtemps....
Alors que la douleur un jour fut plus supportable comme accoutumé à cette enfer, j'ouvris les yeux et respira une grande bouffée d'air chaude qui réveilla peu à peu une soif que réclamai ma gorge et tout mon corps.
- Bonjour Edward....comment te sens-tu?
Je sursauta à l'entente du son de cette voix famillière et inconnu à la fois, je touran la têt en cette direction et découvris avec soulagement le visage du docteur Carlisle, mais ma vision était différente agréssive au début et plus douce comme si le docteur m'apparaissait tel un ange venu du ciel pour apaiser mes souffrances. C'est là qu'il m'expliqua ce qu'il m'arrivait, il m'avait tranformé en Vampire sous la demande supplié de ma mère sur le point de mourrir. Je devins alors son fils adoptif et il m'apprit alors sa façon de vivre ici et parmis les humains, les lois de leur communauté et ses propres règles de vies. Ce fut très dur de résister au démon qui se cachait en moi attendant de voir n'importe quel humain et lui ôter la vie pour assouvir ma soif.
Des années plus tard après avoir voyager à ses côtés, nous furent rejoins par sa femme Esmée, Rosalie Hale, une jeune femme violé et abandonné presque morte. Emmet un jeune homme sur le point de mourrir après avoir affronté un ours trop agressif et enfin le couple "Alice et Jasper", ils s'invitèrent chez nous pour ne plus jamais repartir et arborant notre régime alimentaire végétarien. Nous voilà donc toutes une famille à Forks étudiant et tentant de vivre dans l'ombre.